Vampyr,
Voici ce qui est cité aujourd'hui dans notre journal :
Une journaliste de Libération a fait ce commentaire, lors du procès de fourniret :
Elle décrit une Meuse"aussi boueuse et visqueuse que le monde de fourniret, une ville déserte et repoussante, un cinéma éloigné de huit kilomètres, dans la zone industrielle"
Et enfin, elle a croisé "une dame munie d'un cabas marchant tête baissée, sa lourde frange sur les yeux, ressemblant à une pure vision de monique olivier".
Je ne vous dis pas la réaction des Ardennais, Maires, députés, journalistes, et j'en passe.
Elle présente ce jour ses excuses, mais ne peux pas s'empêcher d'ajouter une petite phrase assassine : "Ma vision de la ville a été faussée par le contenu atroce du procès(...) Sachez-moi gré d'avoir mentionné l'arrivée du soleil dans votre ville (...)
Merci infiniment, Madame la Journaliste !